Chers utilisateurs,
Saviez-vous que le cuivre ordinaire tue les virus et les bactéries par contact ?
Découvrez pourquoi nous utilisons des tuyaux en cuivre pour fabriquer les poignées conductrices du ZAPPER antiparasitaire.
L’utilisation du cuivre en médecine s’est répandue au XIXe et au début du XXe siècle, et diverses préparations à base de cuivre inorganique ont été utilisées pour traiter l’adénite chronique, l’eczéma, l’impétigo, la scrofulose, les infections tuberculeuses, le lupus, la syphilis, l’anémie, la chorée et la névralgie faciale. L’utilisation du cuivre comme agent antimicrobien s’est poursuivie jusqu’à l’arrivée des antibiotiques disponibles dans le commerce à partir de 1932.
Une étude du ministère de la Défense menée dans trois hôpitaux américains a révélé que le cuivre est capable de tuer les agents pathogènes de manière très efficace. En fait, le cuivre antimicrobien et ses alliages (par exemple, le laiton et le bronze) sont enregistrés auprès de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) comme éléments capables de tuer plus de 99,9% des bactéries responsables d’infections dans les deux heures suivant l’exposition. Les études modernes indiquent que le cuivre ralentit ou arrête la croissance de nombreux organismes, notamment les bactéries, les champignons, les algues et les levures. Les ions de cuivre se lient aux contaminants et perturbent ensuite les protéines et les processus clés qui sont essentiels à la vie microbienne.
Les civilisations anciennes ont utilisé les propriétés antimicrobiennes du cuivre bien avant que le concept de microbes ne soit compris au XIXe siècle. Ces propriétés du cuivre font encore l’objet de recherches actives. Les mécanismes moléculaires responsables de l’action antibactérienne du cuivre ont fait l’objet de recherches intensives. Les scientifiques s’emploient également à démontrer l’efficacité intrinsèque des « surfaces tactiles » en alliage de cuivre pour détruire un large spectre de micro-organismes représentant une menace pour la santé publique.
En 1852, Victor Burq a découvert que les personnes travaillant sur le cuivre avaient beaucoup moins de décès dus au choléra que n’importe qui d’autre, et a mené des recherches approfondies pour le confirmer. En 1867, il a présenté ses conclusions aux Académies françaises des sciences et de médecine, les informant que l’application de cuivre sur la peau était efficace pour empêcher une personne de contracter le choléra. Cet effet antimicrobien est démontré par les ions de cuivre ainsi que d’argent, de zinc et d’or. Un article ultérieur a exploré certains des mécanismes antimicrobiens du cuivre et a cité pas moins de 120 recherches sur l’efficacité de l’action du cuivre sur les microbes. Les auteurs ont noté que les mécanismes antimicrobiens sont très complexes et se déroulent de nombreuses façons, tant à l’intérieur des cellules que dans les espaces interstitiels entre les cellules.
C’est pourquoi nous recommandons vivement d’utiliser les poignées en cuivre du ZAPPER avec un contact cutané direct afin de permettre la pénétration des ions de cuivre, bien que l’odeur métallique de la peau après une séance de ZAPPER ne soit généralement pas appréciée.
Ainsi, les ions de cuivre accompagnés des fréquences antiparasitaires émises par l’appareil font un travail synergique afin de stimuler les défenses immunitaires chimiquement et bio électriquement. Pour ceux qui n’avaient pas encore compris l’importance de cette technologie à l’époque actuelle, nous espérons donc que ces informations seront une source de motivation pour utiliser plus fréquemment ce booster immunitaire.
Sources en anglais :
https://www.investmentwatchblog.com/copper-kills-99-9-of-bacteria-within-two-hours/
https://en.wikipedia.org/wiki/Antimicrobial_properties_of_copper
Vidéos :
Anglais : https://www.youtube.com/watch?v=Qb2oWYMrFn8&feature=emb_logo
Anglais : https://www.youtube.com/watch?v=8XC9UcvaIn4&feature=emb_logo
Français : https://www.youtube.com/watch?v=r5XOF-ysT8M
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